Un tribunal chinois a interdit la vente et l'importation en Chine de la plupart des modèles d'iPhone à la demande de Qualcomm, dans une affaire de violation de brevets, affirme lundi un communiqué du fabricant américain de semi-conducteurs, déjà en conflit avec Apple.
Le tribunal a estimé qu'Apple avait violé deux brevets du premier fabricant mondial de puces pour smartphones, concernant le redimensionnement de photographies et la gestion d'applications sur un écran tactile.
Un tribunal chinois a interdit la vente et l'importation en Chine de la plupart des modèles d'iPhone à la demande de Qualcomm, dans une affaire de violation de brevets, affirme lundi un communiqué du fabricant américain de semi-conducteurs, déjà en conflit avec Apple. "Le tribunal intermédiaire du peuple de Fuzhou en Chine a ordonné à quatre filiales chinoises d'Apple de cesser immédiatement de violer deux brevets de Qualcomm à travers des importations, des ventes et des offres de vente sans licence en Chine" pour les modèles d'iPhone 6 à X, souligne le communiqué de Qualcomm.
"Les efforts de Qualcomm d'interdire nos produits sont une nouvelle tentative désespérée d'une entreprise dont les pratiques illégales font l'objet d'enquêtes de régulateurs dans le monde entier", a contre-attaqué Apple dans un communiqué. "Tous les modèles d'iPhone restent disponibles pour nos clients en Chine", ajoute l'entreprise californienne, soulignant qu'elle utilisera tous les moyens légaux à sa disposition pour se défendre.
Chute de l'action Apple
Cette décision d'un tribunal chinois est un nouvel épisode dans une longue et complexe bataille qui oppose le géant américain Apple à son compatriote Qualcomm. "D'autres actions judiciaires destinées à mettre fin à l'utilisation abusive d'autres brevets de Qualcomm par Apple sont en cours en Chine et à travers le monde", a indiqué le géant des microprocesseurs.
Selon Qualcomm, les deux brevets concernés par la décision du tribunal de Fuzhou couvrent des fonctionnalités concernant l'ajustement et la taille des photos ainsi que des fonctionnalités de l'écran tactile.
L'action Apple perdait un peu plus de 2% à l'ouverture de la bourse américaine et pesait sur l'ensemble du Dow Jones, l'un des deux principaux indices de Wall Street. Apple a chuté de près de 30% depuis le début du mois d'octobre en raison des doutes sur les ventes des iPhone, la source principale de bénéfices de la marque à la pomme. A l'inverse, Qualcomm gagnait 3,15% aux alentours de 15H00 GMT.
Une longue bataille judiciaire
La longue bataille judiciaire que se livrent Qualcomm et Apple --après de longues années de collaboration-- s'était envenimée un peu plus fin septembre, quand le géant des semi-conducteurs a ajouté à sa longue liste de griefs une nouvelle accusation: Apple aurait volé ses secrets de fabrication pour les partager avec son grand rival Intel.
Qualcomm accuse Apple "d'avoir orchestré une campagne de plusieurs années, à coup de fausses promesses, opérée en sous-main et faite de subterfuges pour voler des informations confidentielles et des secrets commerciaux de Qualcomm" afin d'aider Intel et d'autres rivaux dans le domaine des puces pour mobiles.
Le but d'Apple était d'acheter ce type de puces à Intel plutôt qu'à Qualcomm, accuse ce dernier. "Une fois de plus Apple a trahi ses engagements contractuels et s'est approprié les droits de Qualcomm afin d'améliorer ses performances et d'accroître ses profits", a indiqué à l'AFP Don Rosenberg, le directeur juridique de Qualcomm. Interrogé, Apple a renvoyé à un commentaire fait en juin 2017 au moment de la première plainte du fabricant de micro-processeurs.
"La manière illégale dont Qualcomm fait affaire fait du mal à Apple et à l'ensemble du secteur", expliquait déjà l'inventeur de l'iPhone. "Ils nous fournissent un composant à usage unique mais pendant des années, ils nous ont demandé un pourcentage du coût total de nos produits", soulignait Apple, qui accuse aussi Qualcomm d'avoir réclamé des royalties pour des patentes injustifiées.
Apple s'est longtemps fourni chez Qualcomm avant de se tourner vers Intel mais a lancé au début de l'année dernière des poursuites contre le premier et réclamé des milliards de dollars de dédommagement. Des poursuites similaires ont également été engagées par Apple contre Qualcomm en Chine.
Dommage collatéral
Les autorités chinoises avaient infligé un grave revers à Qualcomm fin juillet en refusant d'approuver la fusion entre le groupe américain et son concurrent néerlandais NXP, faisant capoter cette méga-opération d'ampleur planétaire. Sa finalisation restait suspendue aux autorités réglementaires chinoises mais la transaction semble avoir fait les frais de la guerre commerciale entre Pékin et Washington.
Le sujet avait même été évoqué lors du sommet de Buenos Aires entre Donald Trump et Xi Jinping, qui a permis d'établir une trêve de trois mois dans le conflit commercial entre les deux premières économies du monde. Selon les Américains, le président chinois avait accepté de revoir le dossier avec bienveillance, mais Qualcomm avait indiqué ne plus être intéressé.
On l'a longtemps pensé indétrônable, mais Intel est sur le point de céder sa place de leader des semi-conducteurs à TSMC, une société taïwanaise âgée de seulement 30 ans.
TSMC, principal partenaire des constructeurs mobiles
Le nom TSMC s'est imposé très rapidement dans l'univers de la technologie mondiale. Le constructeur indépendant taïwanais, fondé en 1987 est actuellement l'un des plus importants fabricants de semi-conducteurs sur la planète.
Il compte parmi ses clients Nvidia et ATI, pour lesquels il fabrique les puces graphiques, mais également Qualcomm et Apple, dont il est le partenaire unique quant à la fabrication de ses processeurs mobiles.
Cette multiplication des commandes est en train de bouleverser l'industrie, à commencer par Intel. En effet, selon Bloomberg, TSMC est en train de prendre la place du fondeur historique et de devenir le numéro 1 de la fabrication de processeurs.
Le succès de TSMC s'explique par l'avance technologique prise par la société par rapport à Intel. En effet, TSMC a été le premier fabricant à produire en série des processeurs gravées en 7 nm, permettant des gains de puissance spectaculaires, tout en réduisant la consommation électrique. Les puces voient également leur taille réduite de près de 70%, à nombre de transistors équivalents.
Intel paye son retard face à l'explosion du smartphone
Intel souffre également de n'avoir su anticiper l'explosion des smartphonesdès 2007, et de ne jamais avoir proposé de puces adaptées à ces appareils, à l'inverse de Qualcomm et le développement de son architecture ARM qui équipe la quasi-totalité des appareils mobiles de nos jours.
Les constructeurs également cherchent à internaliser la production de processeurs, comme Apple dans ses iPhone et iPad, mais également Amazon qui développe des puces propriétaires pour ses infrastructures cloud.
Intel reste malgré tout leader sur l'informatique traditionnelle et conserve une part de marché de 90% sur les ordinateurs portables et de bureau. Mais le volume de production de ces puces est six fois moindre que celui des smartphones. Le budget des clients d'Intel est estimé à 4 milliards de $ pour l'année 2020, pour plus de 20 milliards pour celui revenant à TSMC.
Aussi, Microsoft, l'un des principaux partenaires du fondeur, développe activement une version de Windows adapté aux processeurs ARM, avec l'objectif d'une autonomie considérablement augmentée à performances égales.
Microsoft vient de rajouter des distributions Linux dans le Microsoft Store pour WSL. On retrouvera ainsi WLinux, la première distribution Linux payante pour Windows 10 sur ce même store. Le tarif en vigueur est d’une vingtaine de dollars.
Microsoft propose de nouvelles choses sur son store : on peut notamment y retrouver WLinux, la première distribution payante pour Windows 10. A l’heure actuelle, elle est proposée à 19,99 dollars, mais avec une belle remise de 75% afin d’attirer le client. Pour rappel, WLinux fait partie de l’environnement Linux à destination de Windows.
Microsoft lance WLinux, une distribution payante pour Windows 10
WLinux se base sur une technologie open-source qui a été conçue par Microsoft Research et le projet Debian en charge de l’écosystème Linux. WLinux constitue aussi la première distribution Linux préconfigurée et optimisée dans le but de marcher sur Windows Subsystem for Linux. Il s’agit d’une fonctionnalité pour Windows 10 et Windows Server 2019.
Assez logiquement, WLinux intègre wslu, un conglomérat d’utilitaires open source nécessaires pour que l’interaction entre WSL et Windows 10 puisse marcher. L’autre caractéristique de WLinux, c’est qu’il s’agit d’un dispositif permettant aux nouveaux usagers de se lancer tout de suite sur Linux.
Caractéristiques de WLinux
Cela leur permet notamment de pouvoir changer les paramètres de langue, mais aussi de choisir des shell optionnels comme csh, zsh (avec oh-my-zsh) et fish (avec oh-my-fish). De même, on peut choisir ses éditeurs de texte, que ce soit emacs, neovim et Visual Studio Code. L’environnement de développement peut quant à lui être décompressé.
Et ce n’est pas tout, puisqu’il est aussi possible d’avoir la main sur vos déploiements Microsoft Windows et Azure via PowerShell et azure-cli, des dispositifs de ligne de commande pour Azure. Avec WLinux, on peut aussi activer ou désactiver l’intégration de l’explorateur Windows, et configurer les paramètres tests de l’interface graphique.
WLinux vous simplifie aussi la vie, en prenant en charge plusieurs applications graphiques Linux sans qu’il ne soit nécessaire de configurer display ou libGL dans Wlinux. Vous accédez aussi plus rapidement à des correctifs en cas de bugs spécifiques à WSL. Enfin, des fonctionnalités inédites sont développées grâce à la contribution de la communauté.
On savait que Google prévoyait d'introduire des accords de licence payants pour certaines de ses apps sur Android pour répondre aux accusations de l'UE concernant les abus de position dominante, maintenant on sait à combien pourront s'élever ces opérations. D'après un document obtenu par le site spécialisé The Verge, préinstaller la suite logicielle Google (Play Store, Maps etc) pourrait coûter aux constructeurs jusqu'à 35 € environ (40 $). Il sera possible (mais pas obligatoire) d'ajouter Chrome et Search gratuitement en plus de cela. Mais la somme est difficile à avaler pour certains.
Le calcul est en réalité assez complexe puisqu'il dépend de plusieurs critères, notamment le pays dans lequel l'appareil est vendu, mais aussi le taux de pixels par pouce d'un écran.
Des grilles de tarif complexes
Le critère géographique paraît assez arbitraire puisque Google a classé les pays de l'Union européenne en trois "niveaux " avec tout en haut (Tiers 1) des pays comme le Royaume-Uni, la Suède, l'Allemagne, la Norvège ou les Pays-Bas qui paieront plus cher que le reste des membres de l'UE. Un choix étrange puisque les téléphones sont vendus quasi au même prix en Allemagne et en France, par exemple (le Pixel 3 vaut 859 € dans l'Hexagone et 849 € outre-Rhin).
Quant au classement opéré sur le nombre de pixels par pouce, c'est une manière de trier rapidement les téléphones haut de gamme (donc avec une meilleure résolution d'écran) des téléphones moins onéreux. Les téléphones à 500 ppp et plus paieront le maximum, ceux entre 400 et 500 ppp un peu moins, et ceux en dessous de 400 ppp le minimum. Mais cela risque d'avoir comme effet pervers de limiter encore plus les téléphones compacts haut de gamme puisqu'un petit mobile équipé d'un écran à la résolution élevée risquerait de basculer dans la catégorie des "plus de 500 ppp ".
En prenant en compte tous ces critères, un Galaxy Note 9 (516 pixels par pouces) embarquant le Play Store, Google Search et Chrome serait vendu 35 € plus cher en Allemagne ou aux Pays-Bas, par exemple. Alors, certes, 35 € sur une addition de plus de 1 000 €, ce n'est finalement pas grand-chose (3,5 % du prix environ), mais pour d'autres acteurs, adopter le Play Store, Chrome et Search sera plus compliqué. On pense notamment à OnePlus ou Xiaomi qui se sont donné pour mission de rogner les coûts au maximum, et pour qui une somme de 35 € peut représenter la limite entre un prix psychologique acceptable et un luxe que le consommateur n'envisagera pas de payer. Car, oui, il est peu probable que les constructeurs absorbent ce coût et réduisent leurs marges, c'est donc le consommateur qui finira a priori par payer.
Un coup politique ?
Mais il est toujours possible de refuser les apps Google répondront certains. Eh bien… plus vraiment. Dix ans après son lancement, l'Android de Google est ultra-dominant sur le marché, et se passer du Play Store, notamment, c'est prendre des risques concernant la sécurité que beaucoup de constructeurs n'oseront pas assumer. Il en va de même pour Chrome et Search, l'utilisateur pourra toujours les télécharger après coup, mais ces derniers sont devenus des éléments tellement essentiels de l'expérience Android que s'en passer risque d'en faire grincer des dents certains. D'autant plus que placer Chrome sur l'écran d'accueil d'un smartphone est synonyme de partage des revenus entre Google et le constructeur. En somme, la décision de l'UE arrive au moment ou Google a déjà étouffé le marché avec ses propres solutions maison.
Impossible de dire exactement d'où provient le document confidentiel obtenu par The Verge, mais il n'est pas impossible que la source soit directement Google qui chercherait à effrayer discrètement la Commission européenne alors que le procès en appel de la décision d'abus de position dominante approche. Quoi qu'il en soit, à moins d'un changement de situation de dernière minute, les nouvelles grilles de tarifs devraient entrer en usage à partir du 1er février 2019. source : https://www.lesnumeriques.com/telephone-portable/android-chrome-google-search-pourrait-couter-jusqu-a-35-euros-en-ue-n79483.html
Le marché des processeurs intéresse tous les fabricants et notamment Qualcomm qui voudrait bien manger une petite, ou une grosse, part du gâteau d'Intel. Et on le sait, Qualcomm
sait faire des processeurs, ou plutôt des SoC, donc des processeurs à
destination des plateformes mobiles, comme les smartphones ou encore les
tablettes.
Qualcomm
devrait présenter cette puce durant le mois de Décembre. Si la marque
arrive à faire adopter sa solution par les constructeurs, les bleus
peuvent s'en faire.
Opener, une start-up financée par le patron de Google Larry Page, espère lancer son étonnant concept d’aéronef personnel baptisé BlackFly dès l’année prochaine.
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On ne compte plus le nombre de projets de « voitures volantes » ou plus justement d’aéronefs personnels censés révolutionner les transports en nous libérant des embouteillages. Bien que le cadre réglementaire ne soit pas encore prêt pour un tel bouleversement, au moins une entreprise disposant d’un solide soutien financier espère commercialiser son engin avant la fin de la décennie.
Selon CNBC, Opener a l’intention de lancer sa première « voiture volante » dès 2019 aux Etats-Unis. Cette jeune pousse est en partie financée par Larry Page, cofondateur et P-dg de Google. On ignore combien il a injecté dans le projet mais sur sa page de questions/réponses, Opener assure qu’elle est « bien financée » et ne compte pas faire appel à de nouveaux investisseurs dans un « avenir prévisible ».
Baptisé BlackFly, l’engin en question est ce que l’on appelle un adav (aéronef à décollage et atterrissage verticaux) à propulsion électrique qui peut être rechargée comme une voiture électrique. Opener affirme également que BlackFly sera capable de voler de façon autonome, mais il n'est pas clair si cette capacité sera proposée au lancement. Comme les autres avions, le BlackFly est chargé de systèmes de redondants, y compris un mode de vol plané à faible puissance et un système de parachute en option, au cas où.
La Federal Aviation Administration (régulateur en charge de l’aviation civile aux US) classe le BlackFly dans la catégorie des avions ultra-légers, ce qui signifie que les utilisateurs n'auront pas besoin d'une licence de pilote pour l'utiliser. Cependant, Opener indique dans sa FAQ que les propriétaires devront passer l'examen écrit de pilote privé de la FAA, en plus d’une « familiarisation et formation des opérateurs » dispensée par ses soins.
Larry Page s'intéresse beaucoup aux taxis volants
Il ne faut pas s’attendre à ce que le BlackFly pour révolutionne immédiatement les déplacements dans nos villes saturées. En tant qu'appareil ultra-léger, il ne pourra voler qu'au-dessus d'un terrain dégagé. Et avec une autonomie maximale de 40 km et une vitesse de 100 km/h aux États-Unis il ne sera pas vraiment plus rapide qu'une voiture dans les mêmes régions. Il pourra voyager plus longtemps et à des vitesses plus élevées au Canada, en raison des différences entre les règlements aériens de chaque pays.
Par ailleurs, il faut savoir que le BlackFly ne fonctionne pas comme une voiture classique une fois sur la route, ce qui rend l’appellation « voiture volante » encore moins adaptée. En effet, une fois que BlackFly est au sol, il faut deux petits chariots pour le déplacer. Il peut accueillir un seul passager mesurant deux mètres maximum et pesant jusqu'à 113 kg.
À terme, Opener espère qu'il pourra rendre le son adav au prix d'une voiture de tourisme. Mais cet objectif, tout comme la noble idée de révolutionner les transports, sont encore loin d'être atteints. Selon une étude de Deloitte citée par CNBC, il faudra au moins cinq ans pour que les réglementations locales et fédérales s'adaptent au transport aérien personnalisé à grande échelle, rien qu’aux Etats-Unis.
Larry Page s’intéresse de très près à ce concept et a investi dans un autre projet de taxi volant porté par la société Kitty Hawk. Elle espéré lancer son adav biplace à pilotage autonome d’ici trois ans. Un prototype opérationnel est d’ores et déjà en cours de test en Nouvelle Zélande, grâce à son environnement réglementaire favorable.
Facebook annonce qu’une faille de sécurité a été détectée ce jeudi 25 septembre 2018. Le réseau social l’a corrigée. Au moins 50 millions d’utilisateurs sont concernés. On fait le point sur ce qu’il s’est passé, sur les conséquences de l’exploitation de cette faille de sécurité et sur les actions menées par Facebook.
Une faille de sécurité détectée sur Facebook
La faille de sécurité se situe au niveau de la fonctionnalité Aperçu du profil. Conçue pour aider les utilisateurs à comprendre le niveau de confidentialité de leurs données, elle permet de voir son profil en tant qu’une autre personne (public, ami, etc.). Les explications techniques sont détaillées par Facebook sur son site officiel.
50 millions d’utilisateurs victimes du piratage
La faille de sécurité exploitée par les pirates leur a permis d’obtenir les tokens de connexion des utilisateurs ciblés. Les tokens de connexion, ce sont comme des clés : autrement dit, il est possible qu’ils aient pu se connecter aux comptes Facebook. Les comptes Instagram des personnes affectées ont également pu être piratés. Selon les investigations du réseau social, 50 millions de personnes sont touchées.
Qui est concerné par la faille de sécurité Facebook ?
Les 50 millions d’utilisateurs affectées par la faille de sécurité sont informées par Facebook sur l’application mobile et le site web du réseau social. Un bandeau d’information est visible tout en haut pour dire aux utilisateurs concernés qu’ils le sont, et pour leur expliquer ce qu’il s’est passé.
Que faire si on fait partie des utilisateurs piratés ?
Facebook a d’ores-et-déjà désactivé les tokens de connexion des utilisateurs affectés par cette faille de sécurité. Cela signifie que les pirates ne peuvent plus accéder à votre compte. Le réseau social vous a donc également déconnecté de votre compte Facebook. Vous devrez vous reconnecter sur Facebook dans un premier temps, ainsi que sur Instagram si vos deux comptes sont liés. Facebook précise qu’il a également déconnecté 40 millions d’utilisateurs supplémentaires « par précaution ». Ce n’est pas très rassurant car cela signifie que Facebook ne sait pas si ces 40 millions d’utilisateurs sont concernés par l’exploitation de la faille de sécurité.
En revanche, vous n’avez pas besoin de changer votre mot de passe : les pirates informatiques n’ont pas eu accès à ces informations. Mais ils ont peut-être pu accéder aux données personnelles stockées sur votre profil Facebook, de votre date de naissance à vos photos en passant par vos messages privés sur Messenger. Facebook précise qu’il est au début des investigations pour déterminer quelles données ont été subtilisées, si les comptes ont été utilisés et si oui, à quel escient ces comptes ou ces données ont été volées. Facebook communiquera toute information supplémentaire sur son site officiel (en anglais).
Deux élus américains viennent de demander au PDG de Google, Sundar Pichai, si YouTube collecte les données personnelles de ses utilisateurs âgés de moins de 13 ans et, si oui, d'en préciser leur usage.
Dans un courrier envoyé ce lundi à Google, le républicain Jeff Fortenberry et le démocrate David Cicilline somment le moteur de recherche propriétaire de YouTube de dévoiler si des données personnelles d'enfants de moins de 13 ans sont collectées par le site.
Des données utilisées à des fins publicitaires ?
Les représentants souhaitent également savoir si ces éventuelles données sont utilisées à des fins publicitaires par des annonceurs extérieurs, et précisent craindre que les pratiques du portail vidéo « ne respectent pas le Children's Online Privacy Proctection Act (COPPA) », la loi fédérale qui régule, depuis 1998, la collecte de données personnelles des moins de 13 ans..... source : https://www.clubic.com/television-tv/video-streaming/youtube/actualite-845519-google-interroge-collecte-donnees-aupres-enfants-youtube.html
Dans les années qui viennent, Internet tel que nous le connaissons pourrait bien changer. D'après les dires d'une des personnalités les plus influentes du milieu, le web serait en passe de subir une mutation conséquente.
Lors d'un événement privé se déroulant à San Francisco, Eric Schmidt, l'ancien PDG de Google et actuel président du conseil d'administration de la maison mère Alphabet, s'est exprimé sur l'avenir de notre cher internet. D'après lui, le web va se séparer en deux dans la décennie qui vient... et c'est la toute puissante Chine qui pourrait être à l'origine de ce bouleversement majeur.
L'Amérique et la Chine face à face avec leur propre internet
Durant cet entretien, Schmidt a déclaré : « Je pense que le scénario le plus probable à présent n'est pas une séparation, mais plutôt une bifurcation avec d'un côté un leader d'internet chinois et de l'autre un leader d'internet américain ». https://www.clubic.com/pro/entreprises/google/actualite-845612-ancien-patron-google-existera-internet-2028.html
Dans un monde rempli d’@ et de www, on aurait presque l’impression que le blog a toujours existé.L’air de rien, il a déjà près de 20 ans ! Baptisé « Blog » de part la contraction des mots « web » (internet) et « log » (journal), le mot BLOG s’est décliné en verbe « bloguer » et a fait sa place dans le dictionnaire français.
UN BLOG, C’EST QUOI AU JUSTE ?
C’est un site internet personnel accessible à tous les internautes, que le créateur décore, anime et gère à sa façon. Alors que certains s’en servent pour donner leur avis sur l’actualité ou partager leurs passions, d’autres racontent leur vie, leurs expériences, leurs émotions, faisant de leur blog un vrai journal intime interactif, un carnet de bord de vie.
Bref, le blog est un espace personnel d’expression, ouvert sur le monde entier.
Ses atouts ? Il est simple d’utilisation, générateur d’échange et permet d’être une star à sa manière.
UNE VRAIE TENDANCE
Phénomène de société sans précédent, le blog semble avoir trouvé sa place dans le quotidien des français, quelle que soit la tranche d’âge. Contre toutes attentes, les cyber-ados de moins de 20 ans représentent seulement 20 % des utilisateurs, alors que 50 % des blogueurs ont entre 21 et 35 ans, et tout de même 7,1 % ont plus de 50 ans.
Et saviez-vous qu’il existe plus de 120 000 000 blogs sur le net et que 120 000 blogs se créent chaque jour ? C’est fou !
Vous êtes fervente lecteur d’un blog que vous aimez beaucoup ?
Faites un clin d’oeil à son créateur en lui envoyant cette carte rigolote !
Cet article a été écris quelque jour après la journée mondiale du blog mais sa ne vous empêche pas de fêter vous aussi la journée du blog en recommandant 5 blogs comme je l'ai fais ci-dessous, aller recommander nous sur votre blog sa nous fera plaisir :)